Arrivée de Gabrielle à Durmstrang

Le directeur vint s'asseoir dans son bureau. C'était un bureau magnifique fait de bois, on aurait dit que les pieds étaient fait de plusieurs racines entremélées. Le dessus du bureau était finement ouvaragé. Dessus étaient posés des bouteilles d'encre, un pot remplis de plumes ainsi que divers parchemins. Il dirigea sa baguette vers la cheminer et l'alluma.

Gabrielle arriva dans le bureau dans un très léger craquement.

-"Désoler, j'ai fait un rapide repérage."

-"Whisky pur feu?!"

Pas de problème, dit il en agitrant sa baguette. Aussitôt, deux verres apparurent et Nicolaï en tendit un à Gabrielle.
Alors ton voyage a t il été agréable ? Tu es venue comment ?

-"Merci. Oui ça c'est bien passé. J'ai été au ministère de la magie française et j'ai transplanée jusqu'a celui d'ici. Ils sont très sympa! Je leur ai demander où étais le châteaux. Et je me suis retrouvée pas très loin sur le chemin."

C'est vrai que l'école est dure à trouver, tu as bien fait d'aller d'abord au Ministère de la Magie. Allons nous asseoir dit il en lui montrant un fauteuil. Il alla s'asseoir dan son propre fauteuil derrière son bureau.

-"Disons surtout que je voulait éviter les problèmes parce que avec tout ce qui traîne en ce moment partout dans le monde magique je préfère signaler ma présence."

Elle prit place dans le fauteil que lui indiquait Nicolaï.

-"Ha! Tu m'intrigue mais je n'aime pas trop les fôrets je te préviens..."

Elle vida son verre d'un trait

-"Avec toi ça devrait aller!"

Alors on y va.
Il se leva et se dirigea vers une grande armoire. Il en sortit une magnifique cape bleu clair avec de la fourrure bleu nuit dessus. C'était une grosse cape bien chaude et dessu il y avait l'emblème de l'école.
Tiens, c'est ton cadeau de bienvenue, tu n'aura plus froid.

-"Oh! Elle est splendide."

Gabrielle se leva et se dirigea vers Nicolaï et l'embrassa sur la joue puis elle mit la cape.

-"On peut y aller?!"

Nicolaï fut surpris par le baiser de Gabrielle, il se massa la joue en rougissant un petit peu.
Oui allons y dit il, il mit sa propre cape.
(suite dans la forêt)

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