1er cour: Introduction sur les créatures magiques

Pulchérie écouta le cour avec flegm, se fesant ses commentaires personnelles pour s'occuper.

*merci cassidy -__- dit tout de suite que je suis un danger vivant*

Elle alla à la suite de maria pour suivre la prof

*le patronus, c'est trop beau comme ça mais..*

Pulchérie se mit devant la prof et lui parla en langage des signes: Excusez moi, mais le patronus. L'animal qu'il fait apparaitre, c'est le hasard ou il y'a un rapport avec la personne qui le lance?

-"Il apparaît suivant la personne qui le lance, le Patronus prend la forme d'un animal doué des mêmes caractères qu'une personne. Beaucoup de gens font apparaitre des aigles, des félins et ce genre de choses car ces animaux ont des caractères communs. Communs dans le sens répandu j'entend. Parfois il arrive que le caractère ne compte pas et que le patronus prenne un forme "protectrice", celle d'un animal qui symbolise quelque chose de fort et de particulier pour la personne."

" C'est vrai que c'est pas gentil de la part de Cassidy. Moi, je trouve que tu es très sympa. la plus sympa des filles que j'ai rencontrer. Au fait, c'est quoi ton patronus ? Moi, c'est une loutre argentée. "

HJ: Cassidy est à moitié Vélane!

"Dis donc Weasley, si tu as quelque chose à me dire, tu n'es pas obligé de le dire dans ton coin. Si tu trouve que je suis insultente envers les vélanes c'est que tu n'es qu'une idiote. Tu n'a jamais dut en voir." dit Cassidy d'un ton froid.

-"Tttssstsss! Pas de disputes les filles s'il vous plaît."

"Ne vous inquiétez pas professeur, mais je n'aime pas les gens qui parlent dans le dos des autres, surtout quand ils ne savent pas de quoi ils parlent" dit Cassisy.
Elle regarda Maria avec un regard noir.

Pulchérie allait répondre à maria quand cassidy provoqua celle ci. Elle ne put se taire et envoya ses pensés dans la tete de la fille

*hé la mioche, tu es bien froide avec les vélanes..t'as du avoir des problèmes avec elle. Sauf que là tu généralise un peu trop ton problèmes personnelle. Alors tu la ferme, et laisse maria tranquille*

"Tu semble oublier que je suis Vélane aussi Pulchérie.Je sais de quoi je parle, le caractère d'une vélane est épouvantable quand elle le veulent. Nous avons tous ça en commun."
Elle avait dit celà d'un ton calme, elle ne cherchait pas à se battre avec ses filles. Mais elle détestait le fait que certaines personnes jugent sans connaître.

Alexandrina Romanov a écrit:

-"Oups! Il n'y en a pas... Bon hé bien si nous allions à la bibliothèque pour trouver le récit de Belby?!"

- Je peux le réciter ?

Citation :

Vers une heure du matin, alors que je commençais enfin à somnoler, j'entendis un bruissement proche. Pensant qu'il s'agissait dans doute des feuilles d'un arbre agitées par la brise, je me retournai dans mon lit, le dos vers la fenêtre, et vis alors ce qui me sembla one ombre noire et informe qui se glissait sous la porte de ma chambre. Je restai immobile, essayant dans moin demi-sommeil de deviner ce qui pouvait provoquer cette ombre dans une pièce que seule la lueur de la lune éclairait. Il ne fait aucun doute que mon immobilité dut amener le Lethifold à penser que sa victime désignée était endormie.
A ma grande horreur, je vis alors cette ombre monter sur mon lit et je sentis sur moi son faible poids. Elle ressemblait à une cape dont les plis ondulaient, ses bords voletant légèrement tandis qu'elle rampait vers moi. Paralysé par la terreur, je sentis son contact moite sur mon menton avant de me redresser d'un bond.
La chose essaya de m'étouffer, glissant inexorablement sur mon visage, sur ma bouche, et mon nez, et je sentais sa froideur m'envelopper le corps. Incapable d'appeler à l'aide, je m'éfforçai d'attraper à tâtons ma baguette maguique. Pris de tournis alors que la chose m'étouffait, incapable de reprendre mon souffle, je me concentrait de toute ma volonté sur le sortilège de de Stupéfixion puis - comme la créature n'en était nullement affectée, bien que le sort que j'avais réuissi à jeter eût percé un trou dans la porte de ma chambre - sur le maléfice d'Entrave qui ne m'aida pas davantage. Me débattant toujours de toutes mes forces, je roulai sur le côté et tombai lourdement sur le sol, entièrement entortillé à présent dans le Lethifold.
Je savais que mon incapacité à respirer allait bientôt me faire perdre conscience. Désespérément, je rassemblai ce qu'il me restait de forces. Pointant alors ma baguette maguique au bout de mon bras sur les plis mortels de la créature, rappelant à ma mémoire le souvenir du jour où l'on m'avait élu président du club local de Bavboules, je créai un Patronus.
Presque aussitôt, je sentis un air frais me caresser le visage. Je levai les yeux et vis l'ombre mortelle projetée sur les cornes de mon Patronus. Elle vola à travers la pièce et ondula prestement hors de ma vue.

Témoignage de Flavius Belby, recueilli dans "Les animaux fantastiques" de Newt Scamander (Norbert Dragonneau).

Hj: On va justement à la bibliothèque pour le trouver!